Merci à CypresAM03 pour cette partie, ainsi qu’à Phoenixlechat pour la relecture. PDF mis à jour.
UNSC PORT STANLEY, PARTIE CENTRALE, 10 MINUTES AVANT SAUT DANS LE SOUS-ESPACE : 27 JANVIER 2553.
Osman essayait le siège de commandement sur la passerelle, et se sentait petite et seule. Elle ne s’était pas attendue à ça. Cela ne lui donnait certainement pas un frisson.
J’ai toujours été un espion en costume bleu.
Elle ne s’était jamais sentie comme un réel officier naval. L’ONI avait pris soin de sa personne depuis ses 14 ans, l’avait éduquée, mise dans son programme de commandement, et réinventée. Elle s’était déployée avec la flotte de l’ONI auparavant, mais elle n’avait jamais eu le commandement quotidien d’un vaisseau. Maintenant elle allait découvrir de manière expérimentale si elle le pouvait.
Bien, Parangosky pense que je peux …
« Au cas où vous seriez intéressée, dit BB, j’effectue les derniers contrôles de lancement. Voudriez-vous que je les énonce ? »
Osman ne pouvait la voir. Elle fixa le disque de Mars droit devant elle, une petite tâche rouillée encadrée d’une noirceur tachetée sur l’écran de contrôle avant. « Je te fais confiance, BB. » Il aurait pu laisser cette tâche à n’importe quelle IA non « intelligente », de toute manière. « Où sont-ils tous ? Sécurité pour le lancement. »
« Les ODST sont au carré des officiers. Ils sont très excités sur le fait d’avoir leur propre cabine. Je peux vous le dire grâce à leurs signes vitaux. Pauvre petit clochards. »
« Ne les traque pas, BB. C’est effrayant. »
« Juste un contrôle, Capitaine. Et Phillips est en train de vérifier les caisses dans le hangar. Je pense que la réalité lui tombe dessus. Êtes-vous heureuse de l’avoir ici ? »
« Pas vraiment. Par souci de sécurité des opérations. »
« Toutes les communications passent par moi, Capitaine »
« J’ai voulu dire quand nous reviendrons »
« Oh, je vous garantirai son silence. D’une manière ou d’une autre. »
« Je parierai. »
Soudainement Osman avait besoin de se concentrer sur quelque chose. Elle tourna autour sur son siège, car la voix de BB se ressentait comme si elle venait de derrière elle. L’IA était évidement partout en ce moment même ; elle était dans chaque partie des systèmes du vaisseau, observant via chaque moniteur et caméra, contrôlant chaque aspect de son opération, en contact avec la Terre, et capable d’entendre et de répondre à chaque signal d’appel dans la galaxie, omniscient et omnipotent – pour le peu d’années qu’elle a à vivre, de toute façon. Une IA était un Dieu à la vie courte. Quand elle se retourna pour refaire face à l’avant, BB se matérialisa un mètre devant la cloison.
« Et où est Naomi ? » demanda-t-elle.
« Elle se dirige ici, » dit BB. « Vous pourriez aussi bien lui dire »
Le Spartan qui avait été donné à Osman avait tout le temps des allures bizarres, dans l‘espace renfermé du vaisseau. Naomi semblait réaliser qu’elle la connaissait, mais elle ne pouvait pas placer un nom sur le visage. Osman pensait qu’elle avait beaucoup changé depuis son adolescence, mais quelques détails étaient restés malgré l’âge.
« Oui, on a déjà assez de secrets à se cacher l’une à l’autre. » Osman se leva et resta face à l’embrasure de la passerelle, s’appuyant sur la console de communication. « Je le dirai aux autres aussi. Si nous marchandons des armes pour les rebelles Sangheili, je suppose que mon statut devient dérisoire. Il n’y a aucune raison contre, n’est-ce pas ? »
BB se déplaça pour rester dans son champ de vision. « L’Amiral vous a donné carte blanche. Armes gratuites, repoussez toutes les frontières, pas de prisonniers, et cetera et cetera. Faites ce que vous avez besoin de faire pour que le boulot soit accompli … mais ne pas se faire attraper, soyez sympa.
BB avait un côté plutôt malicieux. Osman se trouva en train de sourire. Sympa. Les choses allaient devenir très informelles. Elle pouvait maintenant entendre Naomi arriver, le bruit sourd de ses bottes sur le pont, elle marchait à grands pas le long du passage dans sa massive armure lourde dont elle n’avait pas besoin en ce moment même. Les Spartans avaient aussi leurs propres besoins de confort.
Comment aurais-je fait face à la Mjolnir ? Me serais-je sentie nue sans elle ? Aurais-je su où je m’arrêtais et où elle commençait ?
Naomi apparut dans l’embrasure. Elle eut ce froncement de sourcils qui disait qu’un souvenir lui échappait toujours. « Prêt à sauter, madame ? »
« Cinq minutes. » Osman réalisa que BB avait disparu, ou du moins son avatar. « Tu veux me dire quelque chose, Naomi ? »
Utiliser son surnom plutôt que de s’adresser à elle en tant que Spartan provoqua une légère réaction. Osman nota deux rapides battements de sourcils.
« Oui madame, » déclara enfin Naomi. « Je crois que je vous connais, mais je ne sais pas d’où. »
« Cela fait un long moment. Et mon nom n’était pas Osman à l’époque. Comme toi. Je n’avais mêmepas de nom de famille. »
Osman avait rarement fait face à face avec un Spartan de sa génération. Pour le peu de fois où elle en avait eu l’occasion, elle trouvait qu’ils étaient très bons pour oublier parce qu’ils avaient été conçus pour ça. Elle se concentra sur les yeux gris pâles de Naomi, guettant l’instant où ça ferait tilt. Le Spartan avait maintenant totalement arrêté de cligner des yeux.
Naomi lutta avec le nom. « Sarah ? »
« Serin. Serin-Zéro-Un-Neuf. Tu te rappelles de moi maintenant ? »
Alors qu’Osman regardait la révélation se construire sur le visage de Naomi, elle sentit la tension se délester de ses épaules. Le soulagement était inattendu et incroyable. Elle n’avait pas réalisé à quel point elle s’était inquiétée à ce sujet.
Mais c’est fini. Je remercie Dieu pour ça. Quelqu’un d’autre que moi et le peu de personne de l’ONI au courant, savent qui je suis.
Presque la moitié des soixante-quinze enfants qui avait été sélectionnés pour le programme n’avait pas réussi leur traitement d’augmentation à l’âge de quatorze ans. Le peu n’ayant pas décédé sont restés handicapés. Osman ne savait pas si Halsey avait parlé à ses succès du destin de ses échecs.
« Nous pensions que tu étais morte. »
Bien. Cela répondait à la question d’Osman. « Je l’étais, quasiment pour être exacte. L’ONI m’a ressuscitée, donc maintenant tu sais. Et ne me dis pas à quel point j’ai l’air normale. J’ai toujours quelques capacités, mais rien au niveau du squelette. »
Tout ce qu’Osman avait besoin de regarder était le visage de Naomi. C’était une sorte de validation. Son existence avait été effacée deux fois, la première lorsqu’elle avait été kidnappée enfant et amenée sur Reach, puis balayée du programme Spartan, mais maintenant personne ne pouvait la faire disparaître encore une fois.
J’existe. Je suis là. Et je vais diriger l’ONI.
Naomi s’assit à un des postes de communication et attacha la ceinture de sécurité comme si rien ne s’était passé. « On ferait mieux d’y aller, Madame. »
Osman n’étais pas sûre de savoir si le sujet était clos ou pas. S’il ne l’était pas, il attendrait. Elle était sur le point de convoquer les ODST quand ils arrivèrent sur la passerelle avec Phillips et BB. Tous les trois – même Devereaux – étaient debout, impassibles, semblables au pire cauchemar de quiconque ; sans sourire, ne clignant pas des yeux, et silencieux … Mal et Vaz avaient cet air de ne-renversez-pas-ma-bière sur eux. C’était en partie dû à cette coupe de cheveux au ras et une complète absence d’expression, mais aussi … merde, Osman ne pouvait pas le définir exactement. Quoi que ce soit, elle était sûre de pouvoir prendre un ODST d’un bataillon à chaque fois, homme ou femme. C’était ce sérieux, ce sentiment qu’ils feraient absolument tout ce qu’on leur ait ordonné, même fou ou impossible, et qu’une fois libérés de leur laisse, seul leur tirer dessus pourrait les stopper.
« Les cabines vous plaisent ? » demanda-t-elle.
Mal se dégela un peu. Ses données disaient qu’il avait 33 ans mais il faisait plus jeune, avec un duvet de cheveux noir, et juste quelques lignes autour des yeux qui suggèraient qu’actuellement, il passait beaucoup de temps à rire. Vaz — qui parvenait à avoir l’air à la fois vétuste et d’avoir vingt ans et quelques — avec un maigre visage, des pommettes hautes typiques des visages Slaves et une spectaculaire cicatrice sur toute la largeur de sa mâchoire. Il ne ressemblait pas au même type de plaisantin du tout.
« Correct, m’dame. » dit Mal, sans expression. Osman assuma d’après son ton que c’était un grand éloge. « Nous n’avons normalement jamais une fosse pour nous. Vaz est délirant avec ça. Honnêtement. »
« Je vous crois sur parole. » Le seul problème avec la formation des recrues ODST de toutes les nations et des trois services était qu’une part d’entre eux était complètement inintelligible, même en Anglais. C’était une part de leur curieux charme. « Il y a un slot d’armure de reconnaissance amélioré et mis à jour pour vous deux, aussi. »
« Merci Madame. C’est luxueux. »
« Ok. Sécurisé pour le lancement. BB, tu as le vaisseau. »
Phillips n’avait pas dit un mot depuis qu’il s’était attaché ici. Osman croisa ses yeux. Quoi que cela puisse être, il semblait amusé, comme si elle ne lui avait pas caché tout ce que l’ONI était en train de faire actuellement.
BB apparut assise sur une console en face d’elle. « Trente secondes … réception des dernières mises à jour … vous pouvez avoir des sédatifs, vous savez ».
Osman ne pouvait rien lui cacher. Elle savait qu’elle avait fait un baiser d’adieu à sa vie privée avant qu’elle soit assez âgée pour comprendre ce que c’était, mais une IA pouvait savoir plus au sujet de n’importe qui que sa propre mère.
Protecteur ou pas, cela la déconcerta. BB avait accès à chaque enregistrement de cabine et rapport médical, et pouvait aussi probablement prendre son rythme cardiaque, ce petit bâtard intrusif.
Elle entendit un des ODST essayant d’étouffer un bâillement. Rien ne les déroutait. Les moteurs du Port Stanley émirent un gémissement faible qu’elle pouvait seulement décrire comme un intense bruit sourd, que son cerveau interpréta comme si sa trompe d’Eustache était aspirée.
Il était trop tard pour s’arrêter. Les moteurs étaient chargés et étaient sur le point de sauter dans le Sous-Espace maintenant. « Je peux faire avec, » dit-elle.
« Des données tardives en réception … peu importe, ça devra attendre … cinq secondes. » BB fit pivoter le vaisseau rapidement sur 180 degrés. « Posez vos paris sur où et quand nous émergeront, Mesdames et Messieurs … et sautons. »
Osman ne regardait jamais la vue extérieure. Elle ne pouvait pas. Ses boyaux étaient en train de tomber dans son ventre encore et encore. Son cerveau lui disait qu’elle était en train de dégringoler la tête en bas dans un tunnel sans fin, bien qu’elle puisse voir ses propres doigts creuser le bras noir rembourré de son siège. Ces yeux vacillèrent de manière incontrôlée, ils essayèrent de donner du sens aux impulsions trompeuses émanant de son cerveau. Elle chutait, complètement hors de son contrôle, et c’était tout ce que lui provoquait un saut. La dégoûtante sensation derrière ses yeux rampa le long de sa nuque et lui fit vouter ses épaules.
Puis elle heurta un mur de brique. Pendant un moment, la passerelle subit un tangage, dû à la tempête présente sur celle-ci, puis tout finit par ralentir puis se stopper. Vomir n’était pas quelque chose à faire en étant Capitaine. Elle serra les dents et attendit que ça passe.
Elle avait dû être comme ça plus longtemps qu’elle ne le réalisait. Un des ODST se pencha vers elle.
« Tout va bien, Madame ? » demanda Devereaux.
Osman fit un effort pour se lever et pour ressembler vaguement à quelqu’un qui avait le commandement. « Les sauts dans le Sous-Espace ne me conviennent pas trop. »
« Comme Nelson. Ça n’a jamais fait de mal à sa réputation, cependant. »
« Nelson avait un moteur supra-luminique, n’est-ce pas ? Bien, cela explique Trafalgar. »
« Non Madame, mais il dégueulait toujours quand on allait à la mer… »
Osman souriait malgré elle. Elle était satisfaite de ne pas avoir vu son petit déjeuner sur ses genoux. « Ça pourrait être pire, alors. »
La vue depuis la cloison avant était un vide profond, sans traits distinctifs, et bien plus noir que l’espace normal. Mais il n’y avait pas seulement le Port Stanley qui avait sauté dans une autre dimension. Osman se trouva tout aussi différente. Ce n’était pas l’ONI. Personne ici ne calculait le meilleur moment pour voler son travail, ou envoyer son IA pour pirater ses systèmes. Les personnes autour d’elles étaient juste en train de faire leur boulot et de regarder leur corps réapparaître dans la bonne dimension, et non à chercher le meilleur endroit pour placer un couteau dans ceux-ci. Osman se trouva soudainement désarmée par quelque chose qui n’était pas exactement de l’innocence — ce sont des ODST, après tout — mais cela lui fit la même impression.
Simple. Direct. Transparent .Loyal .Aucune menace. Bien, pas pour moi du moins.
« Bien, tout le monde, on va mettre 48 heures à atteindre Brunel, donc familiarisez-vous avec le vaisseau, » Dit Osman. « BB, qu’elle était cette donnée entrante ? »
L’IA fit apparaître une image sur l’écran principal. C’était un message vidéo montrant le code d’identification de l’UNSC Ariadne. Osman n’était pas ingénieur, mais elle pouvait reconnaître une cloison de protection d’un moteur Shaw-Fujikawa quand elle en voyait une. Les ingénieurs de l’Ariadne envoyaient des images d’un problème technique et demandaient conseil à la Terre. Il n’y avait aucun moyen de savoir la suite des évènements tant que le Port Stanley n’était pas sorti de Sous-Espace et que les communications n’étaient pas restaurées.
« Où est-il ? » demanda Osman.
« Il a dû sortir du Sous-Espace près de Venezia, » déclara BB. « Le capitaine du vaisseau a établi le contact avec la colonie pour débarquer tous le personnel non-essentiel par mesure de sécurité, mais la colonie a refusé. »
« Depuis quand une colonie humaine dit non à une demande d’assistance de l’UNSC ? Même Venezia ? » Osman réalisa que le Ariadne n’était qu’un petit vaisseau de patrouille, mais restait armée. Osman voulait laisser cela pour plus tard, les armes bien à découvert si besoin. Venezia était restée très discrète durant la guerre contre les Covenant, mais tout le monde se rappelait ce qui avait été fait durant l’insurrection coloniale. « Qui a les commandes de ce bout de ferraille ? »
« Le commandant Pasquale »
Le nom ne lui rappelait rien. Elle commença à écrire sur son unité portable pour une liste complète de l’UNSCN, mais décida finalement de le garder pour plus tard. « Dès que nous serons sortis du Sous-Espace, vérifie si n’importe qui a répondu à leur demande d’aide, ou s’ils ont encore des problèmes. »
« Vous n’avez pas prévu de vous divertir, n’est-ce pas ? »
« Je connais mes ordre, BB. Je veux juste savoir à quoi joue Venezia. »
Osman avait classé mentalement plus d’une centaine de colonies humaines avec des labels se résumant à un mot : vitrifiée, silencieuse, cachée, désireuse de vengeance, luttant, loyale, hors-la-loi. Venezia avait stoppé ses activités criminelles plus de dix ans auparavant, lorsque la colonie était une zone de sécurité pour les terroristes. Désormais, la colonie pouvait reprendre ses anciennes activités, avec les Covenants en moins dans la galaxie.
Vaz resta sur l’image du dos d’un ingénieur en combinaison Hazmat serré dans une petite salle des machines. Il ne semblait pas amusé.
« On ne peut s’empêcher d’espérer que ces gars-là se payent une petite visite sur Venezia, » murmura-t-il. « Mais je suppose que vous pouvez faire en sorte que cela se produise, n’est-ce pas, Madame ? »
Vaz allait devenir populaire rapidement. Bon choix, c’en est un. Les évaluations psychologiques d’après combat avaient leurs utilités. L’éthique n’avait jamais été une notion simple au sein de l’ONI, car les politiques planétaires ne l’étaient pas non plus, mais Osman pouvait voir que ces points deviendraient beaucoup trop flous avant longtemps.
« Oui, je le peux, » dit-elle.
Les mots de Parangosky lui revinrent. Ne jamais tenter de régler une affaire jusqu’à ce que cela devienne tactiquement utile et que vous soyez certain de finir le boulot. Puis assurez-vous qu’ils sachent que vous l’avait fait. C’est comme cela que vous les garderez en rang. Osman avait tous les sages conseils de son mentor triés dans sa tête, comme les colonies.
Elle retourna dans sa cabine et s’éclaboussa la figure d’eau froide pour stopper la palpitation de ses tempes. Quand elle se redressa du lavabo et se scruta dans le miroir, elle était toujours comme vidée de son sang. Cela n’allait pas inspirer confiance à qui que ce soit. Elle fouilla dans le petit placard derrière le miroir pour trouver une dose d’analgésique, mais ses doigts effleurèrent quelque chose de lisse et tranchant, qui crépita au contact.
C’était un petit sac transparent, scintillant dans le placard, contenant du gingembre cristallisé, craquant dans une petite poche liée. Une petite note pendait de celle-ci. Osman la lut, le rire aux lèvres.
Tu trouveras ceci plutôt utile pour la nausée. MP.
Oui, Parangosky avait des facettes cachées. Si vous la croisiez, elle pouvait faire en sorte que vous finissiez très, très mort. Mais si elle vous appréciait – si elle vous faisait confiance, si elle vous respectait, si elle sentait que vous seriez plus utile vivant que mort — alors elle serait votre ange gardien.
Cela n’arrivait pas souvent.
Osman prit un cube de gingembre et le mit dans sa bouche, et savoura la brûlure provoquée tout le long du chemin menant à la baie des hangars.
salut, je voudrai savoir quand la partie 3/3 du chapitre 3 sera dispo, car elle se fait attendre personnellement x) (plus d’un mois) sinon beau travail pour ton site, les article son intéréssent, et la lecture des chapitre y est tres tres agréable 😉 (bonne idée le gris sur fond noir ca ne fatigue pas les yeux) (mais jai constaté une baisse de rythme sur ton site, il ny a plus d’article depuis longtemps cest bien dommage) encore chapeau pour ton site ! 😉
CypresAM03 y apporte la touche finale en ce moment même, le retard est dû a un plantage et formatage de son PC 😉
Ensuite je reprends le flambeau, mes vacances hors de chez moi étant terminées.
Quant aux news, je suis ravi de voir que ça intéresse du monde, malheureusement mon travail à BVG Studios est « secret », et en dehors de la traduction je n’ai donc pas grand chose à publier.
A+
Edit : et c’est sans compter sur ma rentrée universitaire qui approche, et une année de travail chargé qui va a coup sûr ralentir le rythme.
salut, alors, des nouvelles pour les chapitre a venir ? 🙂 (1 mois depuis mon dernier commentaire quand meme) sinon bonne chance pour ton année chargé 😉 (j’espère que ton site aura un « nouveau soufle » avec la sortie de HALO 4 et de tout ses dérivé, en parlant surtout des romans) et hate de voir ton travail pour BVG studio, bonne chance et A+
Salut.
Malheureusement les cours, a defaut de commencer tot, seulement aujourdhui, ont commencé dur ;). Fin des cours a 19h pour une rentree a 21h chez moi, le temps de finir le travail de mesure sur place.
J’attend donc tjrs la partie 3 quedevait terminer CypresAM03, j’espere qu’elle paraitra bientot, car j’avoue je croie (et je desespere) d’avoir le temps de m’en occuper prochainement.
Je doute meme d’avoir le temps de jouer a H4 avant les vacances (Noel, pas d’autres avant :D). Mais dès que possible je reviens sur le blog pour publier des MAJ.
Concernant mon travail à BVG, le contenu est filtré, car l’équipe veut garder un certain silence sur le jeu avant sa sortie… Pour ménager le suspense.
Sur ce bonne soirée, e profite des qq heures qu’il me reste pour me reposer après cette longue journée.
Salut !
Je voudrais savoir où tu en es de ton côté, parce que j’ai continué du miens (à partir de 3.3, donc) en tenant compte de ce que tu avais déjà publié ! De fait, j’en suis au chapitre 6 ! Contact moi pour qu’on puisse en parler 😉
Salut.
Que veux-tu dire par « ou en es-tu? ». Dela lecture ou de la traduction ? Dans le premier cas, j’ai deja fini le livre il y a une eternite, et approche en ce moment mrme de la fin du livre Thursday War (tome 2).
Niveau trad’, je n’y ai pas retouché depuis un moment (faute aux etudes) et j’avoue que je n’ai aucune nouvelle de CypresAM03 non plus.
Si tu veux en discuter plus hesite pas a me MP ici ou sur halodestiny.net !
A+
Salut à tous.
Je tiens à vous félicité et à vous remercier. Etant un grand fan de Halo quand je vois que y a des personnes qui font votre taf je peut que m’incliner. Je dirais même que j’ai honte de n’avoir vu cette traduction que aujourd’hui. Moi qui squat le wikihalo et halo.fr au moins 10 fois par jour :). Je suis le projet avec une grande impatience bien que je comprenne tout à fait les contraintes de disponibilité. Encore merci pour m’avoir fait rêver une après-midi.
Merci à toi d’avoir lu et d’avoir pris le temps de remercier. C’est toujours agréable de savoir que cette traduction a été utile.
Je publierai bientot un spoil concernant The Thursday War, que j’aurais terminé d’ici demain. Pour ceux qui souhaiteraient en savoir plus sur les événements anté- et syn-halo 4, dont l’Infinity, Requiem, le Didacte, Onyx-Trevelyan…
A+